Le plafond de verre

16Jan/21Off

Slovenie: une conférence stratégique

J'ai visité la Slovénie récemment pour avoir une convention mondiale. C'est très intéressant d'en savoir plus sur cette région. Les régions slovènes ont fait partie de l'entreprise austro-hongroise jusqu'à la dissolution de ce dernier à la fin de la Première Guerre mondiale. En 1918, les Slovènes ont rejoint les Serbes et les Croates pour développer un tout nouvel État mondial, qui a été nommé Yougoslavie en 1929. Après La Seconde Guerre mondiale, la Slovénie a été l'une des républiques de la Yougoslavie renouvelée, qui, bien que communiste, s'est rapidement éloignée de votre Union soviétique et a dirigé le Mouvement des pays non alignés. Insatisfaits de l'exercice physique de la force par la grande majorité des Serbes, les Slovènes ont réussi à développer leur autonomie en 1991 après une courte bataille de 10 fois. Les liens historiques avec l'Europe occidentale traditionnelle, une économie en croissance et une démocratie stable ont contribué à la transition postcommuniste de la Slovénie. La Slovénie a adhéré à chaque OTAN ainsi qu'à l'UE au printemps 2004; elle a rejoint la zone euro et le secteur Schengen en 2007. Avec des infrastructures exceptionnelles, une poussée de l'emploi hautement qualifiée, ainsi qu'un emplacement idéal impliquant les Balkans et les États-Unis L'Union européenne, la Slovénie a l'un des PIB par habitant les plus élevés du centre L'Union européenne, indépendamment d'avoir subi une récession prolongée au cours de la période 2008-2009 dans le sillage de la catastrophe financière mondiale. La Slovénie est devenue le tout premier entrant dans l'UE en 2004 à adopter l'euro (le 1er janvier 2007) et a connu une évolution politique et financière fiable. En mars 2004, la Slovénie est devenue le tout premier pays de transition à passer du statut de client à celui de partenaire donateur de l'institution Planet Banking. En 2007, la Slovénie a été invitée à entamer le processus pour devenir membre de l'OCDE; il en est devenu membre en 2012. De 2014 à 2016, les progrès tirés par les exportations, alimentés par la demande dans les segments de marché européens plus importants, ont pesé une fois par an sur la croissance du PIB mentionnée précédemment de 2,3%. Le développement a atteint 5% en 2017 et devrait approcher ou atteindre 5% en 2018. Ce qui était auparavant un taux de chômage obstinément plus élevé a chuté de moins de 5,5% au début de 2018, alimenté par des exportations puissantes et une augmentation des apports qui a accru le désir de travail. La poursuite de la consolidation des prêts fiscaux via une sélection fiscale plus importante et des contributions de sécurité sociables créera probablement un budget de dépenses publiques bien équilibré en 2019. Le gouvernement de l'excellent ministre CERAR a pris ses fonctions en septembre. 2014, s'engageant à poursuivre les engagements de privatiser une sélection sélective d'entreprises statu quo, séminaire entreprise de rationaliser le décorticage du grand public et de stabiliser davantage le secteur bancaire. Les efforts visant à privatiser le secteur financier slovène, majoritairement détenu ou exploité, ont toutefois largement stoppé, malgré les inquiétudes concernant une question continue plus que les dépôts en devises de la période yougoslave.

24Mai/17Off

Le premier divorce européen

Le compte à rebours est engagé ! Londres a en effet activé l'article 50 du traité de Lisbonne, qui enclenche le processus de sortie de l'UE. A l'occasion d'un séminaire à Reims la semaine dernière, j'ai eu l'occasion d'en discuter avec plusieurs personnes, et nous étions tous d'accord pour dire ceci : l'étape des négociations entre l'Union Européenne et Londres s'annonce malaisée. Un compromis est d'ailleurs loin d'être certain, car les deux parties sont en désaccord sur tout ou presque. En fait, les deux parties ne sont même pas d'accord sur la procédure à adopter ! En effet, le Royaume-Uni veut divorcer et négocier ses futures relations avec l'Europe en même temps, alors que cette dernière entend faire les deux à la suite : d'abord le divorce, ensuite d'éventuelles relations. On peut donc légitimement douter que l'Europe et le Royaume-Uni arrivent à une entente en deux ans à peine ! Mais dans ce cas, qu'arrivera-t-il ? En théorie, deux ans après la notification, si aucun terrain d'entente n'a pu être trouvé, le Royaume-Uni sera exclu de l'Europe. C’est le drame évoqué par la presse britannique, qui remettrait au goût du jour des frontières pour les biens comme pour les personnes et entraverait tous les mécanismes mis en place (relatifs au transport, à la santé...). Une situation de ce genre est redoutée par les spécialistes (et ce, tant par les milieux patronaux que par les travaillistes). Malgré tout, Theresay May prévient qu'il vaut mieux ne pas avoir d'accord qu'un mauvais accord. Bruxelles, de son côté, ne prend pas vraiment ces assertions très au sérieux : elles sont en fin de compte très prévisibles en début de négociations, quand les parties s'efforcent de s’imposer en vue d'affaiblir l'autre. C'est un peu l'équivalent du haka, en somme. Et puis, Bruxelles pense aussi que la pression en provenance des milieux d’affaires sera de plus en plus importante à mesure que la date approchera, ce qui poussera le gouvernement britannique à conclure en définitive un accord avec Bruxelles. Ce qu’on peut d'ores et déjà prédire, c’est qu’il y aura dès cette année un vrai débat sur le modèle de développement économique que va devoir adopter le Royaume-Uni ! En tout cas, j'ai passé un excellent moment lors de ce séminaire à Reims. Voilà l'agence qui a monté l'événement, si vous voulez jeter un oeil.